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  • Constance PAPA

Comment je me fais connaitre en tant que Community Manager freelance ?

Dernière mise à jour : 13 déc. 2019



Se faire connaitre lorsqu’on démarre en tant que community manager freelance, n’est pas facile, je ne vous apprends rien ! On me demande souvent comment j’ai trouvé mes clients, ou comment les prospects me contactent. A mes débuts (qui datent d’il y a 6 mois !), j’ai élaboré une petite stratégie de communication pour développer mon personal branding (marque personnel) et attirer de nouveaux clients… Je vous explique tout dans cet article !


1. Me faire connaitre sur les réseaux sociaux


La 1ère chose que j’ai fait en tant que community manager freelance a été de me créer un compte Instagram professionnel et à l’alimenter au maximum dans le but de 1) Créer une vitrine en attendant la création de mon site internet 2) Parler de mon parcours et créer un storytelling autour de mon activité 3) Montrer à mes futurs clients et prospects mon travail et mettre en avant mon style graphique et rédactionnel.

Mon compte personnel a également permis faire connaitre mon activité auprès de mon cercle familial et amical. Ce sont ces premières personnes auprès de qui j’ai communiqué mon travail de community manager indépendante.

J’ai également accéléré ma présence sur Linkedin : j’ai complété le titre qui apparait sous votre nom, mes infos et crée une bannière en rapport avec mon métier, ajouté de nouveaux contacts, et le plus important je suis devenue beaucoup plus active en commentant, likant et en rédigeant des post et articles.


2. Un site internet et les référencements naturel et payant (ou SEO et SEA)


La 2ème étape a été de créer un site internet vitrine pour présenter mon activité, les tâches que je réalise et en remettre une couche sur le story telling (la page « A propos » étant une des pages les plus consultées sur un site internet).

J’ai passé du temps à soigner d’une part l’esthétisme du site internet et d’autre part les textes et plus particulièrement le référencement naturel. Me présentant en tant que spécialiste de la rédaction optimisée SEO (ou référencement naturel) il était impératif que mon site soit bien positionné dans les moteurs de recherche.

Ce dernier travail étant long (plusieurs semaines voire plusieurs mois pour obtenir de bons résultats), j’ai décidé d’investir dans du référencement payant, autrement dit Google Adwords. Contrairement au SEO, le SEA est instantané dès lors que l’enchère sur un mot clé est remportée. Cela m’a donc permis d’être en positionnée en haut des pages Google dès le lancement de mon activité. Et de recevoir mes premiers contacts…

Depuis, mon site est bien positionné sur les résultats organiques et les enchères n’ont fait qu’augmenter dans Google Adwords. J’ai donc mis en pause les campagnes payantes pour le moment…Peut-être que j’y reviendrai.


3. Du virtuel au réel


Lorsque j’ai créé mon activité de Community manager freelance, je pensais pouvoir travailler avec des personnes à travers toute la France. Je pensais aussi qu’en étant spécialiste des réseaux sociaux, ces derniers suffiraient à me faire connaitre. Après plusieurs semaines, j’ai fait le constat qu’il était primordial de développer mon réseau professionnel localement et physiquement. En effet, j’habite Annecy depuis plus de 3 ans mais je n’ai jamais travaillé dans ce secteur auparavant. J’ai donc réfléchi à intégrer des réseaux de professionnels. Le 1er a été Coworkees, une plateforme en ligne de mise en relation entre freelances et entreprises. Cette société (créée à Annecy) organise aussi tous les mois des cafés freelance avec des présentations, conférences et temps d’échanges.

J’ai ensuite intégré le réseau d’affaires BNI à Annecy. Pour ceux qui ne connaissent pas, il s’agit de se rencontrer toutes les semaines pour se présenter et échanger. Chacun est l’unique représentant de son activité. La méthodologie est parfois contraignante, elle a certain coût, mais elle est, je trouve, vraiment efficace.

Grâce au développement de mon réseau physique, j’ai pu rencontrer de nombreux professionnels plus facilement et augmenter mes contacts et contrats. Cela a été un bon accélérateur de mon business ! Et ça a permis de montrer mes qualités humaines et relationnelles.


4. Ce que je ne referai pas / Les fausses bonnes idées


Au milieu de tout ça, j’ai parfois été tentée par des actions pas toujours efficaces !

Au tout début, j’ai envisagé d’acheter un fichier de contacts pour envoyer un e-mailing… heureusement que je ne l’ai pas fait car cela coûte relativement cher !

Je me suis inscrite sur des plateformes payantes pour répondre à des demandes d’entreprises en recherche de freelances… j’ai arrêté au bout d’un mois face à la concurrence de personnes à l’étranger qui pratiquent des prix plus cassés ! Totalement inintéressant pour moi…

J’ai aussi fait de la publicité sur les réseaux sociaux. Même si je préconise la publicité sur les réseaux pour mes clients, je ne pense pas qu’elle soit efficace pour moi. Je préfère qu’ils me servent de vitrine pour montrer mon travail aux personnes qui veulent en savoir plus sur mon travail.


Voilà comment je me suis fait connaitre durant les premiers mois de mon activité ! C’es mon expérience et certainement pas un modèle à suivre. Pour certains cela ne fonctionnera pas.

Je réfléchis à l’année 2020 et à mon plan de communication… que vais-je conserver ? Dans quoi vais-je investir ?

Si vous avez des idées ou des suggestions, elles sont les bienvenues en commentaire 😊



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